ROYAUME BLEU
ROYAUME BLEU
Chiaki Watanabe
Esclavagiste
32 ans • Non éveillé • Royaume Vert
Pouvoir de la terre (métal)
• CARACTERE :
Chiaki était d’un naturel assez calme, presque robotique pendant ses années de services, mais dès lors qu’il fût laissé pour mort, il devint rapidement froid et distant avec le reste du monde, ne jugeant utiles que ceux à qui il peut passer un collier et voir ramper à ses pieds.
Ainsi il dédie à présent sa vie à retrouver et réduire en esclavage ses anciens camarades, le tout en profitant du chaos ambiant de ces derniers mois pour faire fleurir sa petite entreprise illégale de vente d’esclaves, pour certains dotés de pouvoirs qu’il hinibe grâce à des colliers spéciaux dont le nom du fournisseur est un secret jalousement convoité.
• CAPACITES :
- Pouvoir : Il est capable de contrôler le métal autour de lui et de le transformer à sa guise, l’utilisant ainsi la plupart du temps pour se forger une armure et des armes qu’il utilise au combat. Son style est d’ailleurs très proche du combat rapproché car la portée de son pouvoir n’est pas énorme, ce qui l’oblige à rester à faible distance des métaux qu’il souhaite contrôler.
De même que ses membres étant en entièrement faits en métaux, il les bouge et le transforme régulièrement en fonction de ses besoins.
- Cristal noir :
Chiaki se fournit en cristaux auprès de Frankenstein en échange d’esclaves, lui permettant ainsi de produire des armes aux effets variés selon les types de cristaux.
Ainsi en mélangeant sa maîtrise du métal et les différents cristaux élémentaires à sa disposition, il “forge” des armes éphémères dont les matériaux disparaîtront une fois le cristal consommé.
HISTOIRE
Chiaki est un des enfants élevés pendant la grande guerre entre humains et porteurs du gène V, ce qui a rapidement fait de lui un enfant soldat, entraîné et formaté à obéir et exécuter les ordres dans les rangs de ce qui fût les prémices du royaume Bleu.
Il a d’ailleurs suivi longtemps ce mode de vie de bon petit soldat, passant d’un champ de bataille à un autre sans trop jamais se poser de question, jusqu’à ce qu’après de longues années à se battre, il n’ait fini par se faire lourdement blesser. Il fût alors laissé pour mort, abandonné aussi bien par sa faction que par ses frères et soeurs d’armes, lui laissant le goût amer de la trahison alors qu’il dû survivre et se reconstruire, littéralement, tout seul.
Depuis, il vit sans plus apporter de confiance ou d’importance à personne, s’étant reconverti dans l’esclavagisme illégal comme moyen de gagner sa vie et par la même occasion combler d’une manière plus efficace ce manque créé par l’absence de son ancienne garnison.
Son mode de vie ne tourne ainsi qu’autour d’une simple phrase qu’il suit à la lettre :
“ Il n’y a ni confiance ni amitié qui ne puisse pas indéniablement mener à la trahison, mais un chien, lui, ne mord pas la main qui le nourrit. “