ROYAUME BLEU
ROYAUME BLEU
Fujita Kazumi
Conseiller royal
64 ans • Non éveillé • Royaume Rouge
Sans pouvoirs
• CARACTERE :
Désormais, Fujita n’est plus le jeune homme imprévisible et impatient d’antan. Au fil de sa vie et de ses expériences, il a acquis une grande sagesse et une grande intelligence, à tel point que lorsque des habitants qui savent qui il est ont des problèmes, c’est vers lui qu’ils se tournent pour les aider. En effet, le nom de Fujita Kazumi est connu dans tout le Royaume Rouge, mais peu connaisse son apparence, ce qui lui permet de voyager tranquillement.
Depuis la grande guerre, Fujita rejette toute forme de violence quelle qu’elle soit. Il a assez vue de sang, de meurtre et de tuerie durant ce conflit qui a causé la perte de sa femme, de ses enfants et de son plus vieil ami. En bon samouraï, il n’a jamais cherché à se venger. Il sait de toute manière que depuis la guerre, les humains sans pouvoirs sont devenus minoritaires et qu’une zone spéciale leur est réservée. Alors à quoi bon affronter tout le royaume en tant que simple humain ? Et puis, les humains avec pouvoir n’avaient pas non plus voulu cette guerre. Ils avaient sans doute perdu des proches eux aussi… Il fallait en finir une bonne fois pour toute avec ces conflits pour créer une période de paix prospère pour tous. Fujita est donc un pacifiste absolu.
En revanche, si ses concitoyens se retrouvent menacés, il sera contraint de dégainer son katana pour se battre. Bien qu’il soit vieux, il maîtrise toujours aussi bien l’art du combat au sabre et surtout, il sait comment affronter les détenteurs de pouvoirs, peu importe leur élément. Cependant, Fujita sait bien que l’âge l’affaiblit, et que chaque combat est un véritable danger pour lui car il risque facilement d’être blessé gravement ou bien même de mourir.
Pour finir, il adore transmettre ce qu’il sait aux nouvelles générations. C’est par ailleurs un de ces principes de samouraï : la transmission du savoir. Raconter ses expériences et son vécu pour qu’elles servent de leçons, il n’hésite pas, surtout avec les enfants. Eux qui n’ont pas connu la guerre, ils doivent plus que tout être préservés de cette atrocité.
• CAPACITES :
Fujita Kazumi est né simple humain sans pouvoirs. un certain 1er janvier en 1994. Il n’a jamais, durant sa longue carrière de samouraï, ressenti une quelconque influence du gène V dans son corps. Par conséquent, comparé à certains de ses camarades qui ont renié la voix du samouraï pour suivre leur propre voie dictée par leur nouveau pouvoir, lui n’en n’a jamais développé et est toujours resté fidèle au crédo de son ordre. En revanche, il s’est entraîné dur durant toute sa vie pour maîtriser l’art du sabre et l’art de vivre du guerrier samouraï.
HISTOIRE
Mais qui est donc ce mystérieux samouraï âgé à l’air empreint de sagesse ? Aujourd’hui, dans les écoles de chaque royaume du Japon, lorsqu’on évoque la grande guerre entre sans-pouvoirs et bénéficiaires des dons, le nom de cet homme est évoqué. Il est comme un mythe. Son nom ressort dans la bouche des habitants et des enfants, comme celle d’une vieille légende que l’on ne veut pas oublier.
• Enfance :
Fujita Kazumi est un homme né dans la préfecture d’Iwate en 1994 dans une grande famille de tradition samouraï. Leurs ancêtres ont fait partie des derniers membres officiels de cet ordre durant l’ère Meiji, époque à laquelle la mécanisation des armes et armements l’ont emporté sur les katanas traditionnels des samouraïs. Néanmoins, leurs traditions, leurs coutumes et leur mode de vie ont perduré au sein de la famille Kazumi, dont les sabres se transmettent de génération en génération. A sa naissance, ses parents ont vu en lui son futur talent en tant que guerrier samouraï, l'imaginant remettre sur le devant de la scène japonaise les mérites de cette voie. Hélas, il était un enfant des plus capricieux, pleurant et hurlant à la moindre frustration. Son éducation était exclusivement faite par son père Yujiro et sa mère Kiniha. Celle-ci lui enseignait la grammaire, l’histoire du pays, la philosophie, la langue, autrement dit, tout ce qui touchait au domaine littéraire. Son père lui, se réservait à son éducation physique, c’est-à-dire son endurance, sa souplesse ou sa force et par-dessus tout, il commençait à lui apprendre la maîtrise du sabre avec des bâtons de bois en guise de commencement.
Yujiro, le père de Fujita remarqua que étrangement, lorsqu’ils s’entrainaient avec des bâtons, son fils était calme, concentré et déterminé, tout le contraire de lui habituellement. Il en fut évidemment ravi et augmenta le nombre de leçons hebdomadaires tandis que sa mère continuait ses enseignements littéraires. Alors âgé de 14 ans, Fujita était devenu sans le savoir un combattant hors norme pour un garçon de son âge. Grâce à ses parents, il avait également appris l’art de vivre du samouraï : la méditation, le respect de ses adversaires, le respect de son environnement et par-dessus-tout l’interdiction d’user de lâcheté et de fourberie. Un samouraï se doit d’être noble, humble et honnête. Son père, alors fier de la progression de son fils, organisait des tournois avec des enfants d’amis eux aussi descendants de samouraïs (sans sabres, seulement avec des bâtons). Dans ceux-ci, les deux finalistes étaient toujours les mêmes, à savoir Fujita et un autre garçon de son âge appelé Ozaki Jin, descendant lui aussi d’une célèbre lignée de ces guerriers. C’était devenu une habitude. A chaque tournoi, ils s’affrontaient de toute leur force, et aucuns des deux n'arrivaient à prendre l’avantage. Une amitié se forgea dans ces affrontements. Une amitié forte et que seuls les deux enfants ressentaient au fond de leur âme. Le père de Fujita lui confia alors que la vie qu’il menait était celle que l’on appelait des “samouraïs”, nom qu’il n’avait jamais prononcé devant lui avant pour qu’il sache par lui-même ce que signifiait en être un.
• Jeune adulte :
Ainsi, Yujiro continua de perfectionner ses compétences et son apprentissage de la vie de ces célèbres guerriers japonais. Alors âgé de 25 ans, il recevait très souvent son plus vieil ami Ozaki dans la demeure familiale pour parler de tout et de rien. Désormais, il maîtrisait tout comme son ami le sabre en acier comme sa poche. Vers 15 ans, son père Yujiro avait effectivement arrêté d’utiliser les bâtons pour préférer l’usage de vraies armes. Au début, Fujita avait eu un petit peu de mal à s’adapter au nouveau poids et à la plus faible maniabilité du sabre. Mais avec l’expérience acquise au fil des leçons avec Yujiro ou même durant ses entraînements individuels, Fujita avait surmonté ces difficultés. Mais le sabre qu’avait le jeune homme n’était qu’un sabre banal, sans histoire. Celui de son père en revanche était un héritage de sa famille. C’est pour cela que celui-ci lui disait que Fujita l’obtiendrait lorsque le temps sera venu, ce qu’il attendait avec impatience. Mais…Le Japon avait hélas changé.
Les samouraïs comme lui désormais ne se comptaient plus que sur les doigts d’une main. De plus, ils n’étaient plus aussi bien vu qu’auparavant par la population. La technologie avait grandement évolué, à tel point que les simples sabres en acier des samouraïs étaient désormais désuets et totalement inutiles sur un champ de bataille. Parmi ceux qui restaient, certains abandonnèrent leur vie de guerrier pour aller vivre en ville, sous l’égide du capitalisme, du libéralisme et des nouvelles technologies. Quant à Fujita, il décida lui de rester dans sa campagne avec sa famille et les quelques samouraïs restants, menant une vie paisible à l’écart de la société moderne. Ses parents se faisaient vieux. C’était désormais lui qui s’occupait de la maison et de la gestion de tout ce qui était approvisionnement en eau et en nourriture. Son père essayait bien de l’aider mais cela ne suffisait clairement pas. Le moment était enfin venu. Un soir, son père l’appela dans le salon. Sa mère était aussi là, assise auprès de lui sur le canapé. Aucun mot ne sortait de leur bouche. Fujita resta planté là, à les regarder sans comprendre. Soudain, Yujiro se leva, et alla décrocher un sabre au fourreau d’ébène avec des dorures, accroché au mur de la pièce. Son fils comprit, le moment était enfin arrivé. Il hérita enfin du sabre de ses ancêtres, appelé Fléau.
Quelques jours plus tard, son père mourut, emporté par une maladie mortelle. Sa mère, endeuillée, se mura dans le silence et le chagrin tout le reste de sa vie. Fujita allait devoir rester fort et redoubler d’efforts pour s’occuper de celle-ci et des familles des autres guerriers samouraï encore présents. Son premier combat arriva un jour lorsque des bandits équipés de pistolets automatiques se présentèrent à leur porte. Fujita ouvrit et ils pointèrent directement leur arme sur son front. Évidemment, le guerrier savait à quel point ces armes étaient supérieures à son sabre. Mais… Il n’était que trois. Alors qu’un d’entre garda en joue le samouraï, les deux autres cambriolèrent sa maison. Fléau était à quelques mètres de l’homme qui le braquait. Soudain, Fujita donna un coup de coude à celui-ci, fit une roulade en avant et récupéra son katana posé sur la table basse du salon. Avant que l’homme ne reprenne ses esprits, Fujita le dégaine et coupe la tête de celui-ci d’un coup sec. Ses deux camarades n’avaient rien entendu heureusement. Fujita monta à l’étage, là où ils étaient, se positionna discrètement derrière eux, et conformément à son crédo, au lieu de les tuer par derrière, il les confronta. Directement, ils pointèrent leur pistolet sur lui et avant d’appuyer sur la gâchette, Fujita coupa leur bras. Les deux hommes crièrent de douleur, et se saisirent de leur couteau grâce à leur autre main. Sans aucune pitié, Fujita mit fin à leur vie. Sa mère avait disparu. Où était-elle ? Alors que le guerrier la cherchait dans toutes les pièces, il trouva un cadavre ensanglanté par terre, un couteau enfoncé dans le ventre. C’était elle… Les deux hommes l’avaient assassinés sans aucune pitié. Une colère sourde et froide s’empara de l’homme. Il aurait voulu crier, pleurer, hurler. Mais aucun son ne sortit de sa bouche. Rien, pas même une légère plainte. Juste une larme. Une petite larme qui coula le long de sa joue. Son crédo était clair : ne jamais laisser place ni à la colère ni à la haine. Il la prit dans ses bras, demanda aux autres familles de le rejoindre, et lui fit les rites funéraires traditionnels. Au moment où son corps fut enterré au côté de son père, Fujita s’agenouilla, et remercia de tout son cœur ce qu’elle avait fait elle et son père pour lui. Après cela, il était désormais seul dans sa maison. Il continuait de rendre visite à Ozaki pour se changer les idées.
Plus aucun autre bandit ne vint depuis ce jour. Alors au marché du village voisin, il fit un jour la connaissance d’une jeune femme de son âge appelée Kinari. Le courant passa tout de suite entre les deux, et Fujita l’invita à déjeuner chez lui. Ils se revirent régulièrement, à peu près une fois tous les trois jours, et finirent par s’avouer leur amour l’un pour l’autre. Kinari s’installa alors avec son amoureux, et ils entamèrent alors une vie de couple paisible dans leur contrée reculée de leur préfecture. Fujita commençait enfin à finir son deuil. Il avait en revanche installé un petit autel dans le jardin, là où ses parents étaient enterrés, devant lequel il priait chaque jour afin d’honorer la mémoire de ceux-ci.
• Adulte :
Désormais âgé de 42 ans, Fujita Kazumi s’est forgé auprès des siens et de la population locale une réputation de sage. Il est considéré comme diplomate, humble et n’utilisant la violence qu’en dernière nécessité. Il est donc un réel samuraï tel qu’on les connaît. Il vit toujours dans la même maison avec sa femme Kinari et ses deux enfants Kushida et Onaru. Sa maîtrise du sabre n’a jamais été aussi importante et aussi parfaite. Il surpassait même son ancien rival et ami Ozaki qui pourtant était vraiment talentueux. Sa vie avait retrouvé sa tranquillité d’antan. Mais Fujita était très soucieux. Il avait entendu parler ces dernières années de ces individus devenus incontrôlables et tuant à l’aide de mystérieux pouvoirs les personnes autour d’eux. Le “gène V” les scientifiques l’avait baptisé. Un gène conférant à ces bénéficiaires le pouvoir de contrôler un élément naturel comme le feu, l’eau ou l’air. Mais… Il y croyait encore moyennement. C’était contraire à ces principes de samouraï. Pouvoir se prétendre au-dessus de la Nature ? C’était une véritable félonie. Mais il finit par voir cela de ses yeux, alors qu’un homme pénétra dans la maison voisine d’Ozaki, et utilisa l’eau aux alentours pour la submerger. Heureusement, Fujita avait assisté à la scène et avait vite confronter l’homme. Entre-temps, Ozaki avait pu se sortir de son pétrin, en quittant sa maison. Mais sa famille ? Il n’avait pas pu les sortir de là. Ils étaient sûrement morts noyés. De chagrin et de colère, Ozaki fonça sur le responsable, mais celui-ci le repoussa avec une étonnante aisance en le propulsant au loin en utilisant l’eau comme outil de poussée. Alors sonné, Ozaki essaya de revenir à la charge, mais l’homme le confina dans une bulle aquatique pour le noyer. Alors qu’il se débattait tant bien que mal, Fujita alla récupérer Fléau, et affronta à son tour le responsable de ce carnage. Celui-ci laissa Ozaki tomber par terre inconscient, et se retourna pour se mesurer au samouraï. C’était la première fois que Fujita affrontait un adversaire de ce genre, alors il ne savait pas quelles tactiques utiliser. Il se contenta alors d’esquiver les flèches aquatiques lancés par l’individu. Au même moment, il analysait ses gestes et ses mouvements pour y dénicher une faille à exploiter. C’était le moment ! Alors que l’homme prit quelques instants pour rassembler de l’eau dans ses mains, Fujita se rua sur lui, et d’un coup sec sépara la tête de son corps.
Après ce combat, le guerrier s’empressa d’aller vérifier que son ami allait bien. Une fois qu’il eut repris conscience, ils constatèrent sans surprise la mort de la famille d’Ozaki. Empli de haine, celui-ci se jura d’éliminer toutes les personnes qui possèdent le gène V. Mais…Alors rongé par sa colère, il commença à se détourner de la voie du samouraï, ce qu’essaya de lui faire comprendre Fujita. Ozaki n’écouta rien, et retourna chez lui. Leur amitié en fut alors transformée.
La guerre éclata entre sans pouvoirs et ceux que Fujita appelait les “mutants”. Ozaki et Fujita y participèrent. Néanmoins, celui-ci y participait non pas pour le fait d’éliminer les détenteurs de pouvoir, mais simplement pour contrecarrer la folie meurtrière de certains. La guerre fut des plus violentes, des plus sanglantes. Les deux samouraïs se confrontèrent à des utilisateurs de feu, d’air, d’eau et de terre. Chacun avait une façon de se battre différente. Voyant que les autres humains possédant des armes à feu se faisaient massacrer par des éveillés enflammés, Ozaki et Fujita coopérèrent pour les éliminer. Les approcher était extrêmement difficile. La moindre erreur d'inattention risquait d’être fatale. Ils virent les autres samouraïs de leur village se faire tuer eux-aussi. Fujita n’avait jamais vu une telle violence. Ozaki fut tué par un utilisateur de l’air, celui-ci l’ayant fit voltiger à une vingtaine de mètres, lui rompant les os. Fujita qui avait assisté à la scène, conformément à son crédo, ne s’abandonna pas à sa colère. Il réussit à tuer l'éveillé, étant désormais capable d’analyser ses mouvements. Après 10 ans de guerre, Fujita était le seul survivant samouraï. Tous avait été tué. Des préfectures avaient même été réduites en ruines. Des éveillés avaient pénétré dans son village, et massacré les familles des samouraï partis se battre. Sa femme Kinari et ses deux enfants avient été tué.
Désormais, il était seul, sans personne à aimer, sans personne à qui parler. Leur maison avait été ravagé, et les cadavres de sa famille abîmés. Fujita récupéra leur dépouille, et les enterra à côté de ses parents. Il avait enterré beaucoup de monde ici… La guerre était terminée. Il s’était fait connaître des humains lambda par sa bravoure et sa capacité à éliminer les éveillés, quels qu’ils soient. Son foyer détruit. Il se construit une petite cabane plus loin dans les montagnes, et y viva en paix le reste de sa vie, priant et méditant. Ses conseils étaient les bienvenus de la population non loin. Ils respectaient son expérience et sa sagesse.
• Age avancé :
Le voilà alors âgé de 64 ans. Fujita mène sa vie de solitaire, reclus dans son cabanon dans les montagnes. Son plus vieil ami Fléau l’accompagne toujours. Malgré son âge, le vieux guerrier continue de maintenir son excellente maîtrise du sabre qui lui a valu tant de victoires durant la grande guerre. Baisser de niveau n’est pas acceptable. Un samouraï digne de ce nom se doit d’être régulier et rigoureux dans ces entraînements, peu importe les difficultés rencontrées. Entre-temps, on lui avait dit que sa préfecture appartenait à un certain royaume rouge. Ainsi, le Japon s’était divisé… Fujita appris l’existence des autres royaumes. Il aurait souhaité une unification du pays…Car qui dit division dit tensions et donc guerres. Le vieux guerrier l'avait déjà vécu, et ne voulait plus la revivre, sauf en cas d’extrême nécessité.
Désormais, il ne savait plus quelle cause il servait. En tant que samouraï, il devait défendre les individus autour de lui. Ceux-ci appartenaient au Royaume Rouge, alors il allait devoir défendre ce royaume. Bien que cela ne lui fasse pas particulièrement plaisir, il n’avait guère le choix. Il devait tout faire pour éviter une autre guerre. Il avait entendu parler lorsqu’il se baladait dans le village voisin de l’arrivée d’une toute nouvelle jeune reine appelée Mee-Na Kodana. La fougue de la jeunesse est dangereuse… Très dangereuse… Fujita est un des hommes les plus expérimentés en ce qui concerne les affrontements contre les individus possédant le gène V. A vrai dire, aurait-il voulu lui aussi posséder ces pouvoirs ? Il ne le sait pas. Mais en revanche, il sait une chose. Il ne doit jamais céder à l’ambition ou à la corruption. Fujita prit donc le chemin vers la capitale du Royaume Rouge, après avoir entendu parler du manque d’effectifs chez les conseillers royaux. Un monarque qui règne seul, sans conseillers, est un monarque dangereux. Surtout si la personne est jeune. Une fois arrivée, il s’approcha du palais, et demanda aux gardes de voir la reine. Il allait peut-être avoir l’occasion de devenir conseiller royal, du moins il l’espérait pour l’avenir de ce royaume.
• Particularité physique : Longue barbe blanche + longs cheveux blancs + très grand corps fin et sec.