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Makoto Hyuga

Homme à tout faire

31 ans • Non éveillé • Kantô

Sans pouvoirs

• CARACTERE :

Depuis sa jeune enfance, le meilleur mot pour qualifier le trentenaire s’avère être « normalité » puisqu’il n’y a rien de spécial ou de particulier à dégager de sa personnalité. Il n’a fait que suivre le cours de sa vie d’une manière tranquille et toute tracée, se complaisant dans des résultats efficaces et satisfaisants.
Habitué à être laissé pour compte, il est rare que quiconque s’attarde sur son avis ou son point de vue, le laissant souvent dans un silence travailleur derrière un visage concentré, ses lunettes toujours impeccablement nettoyées et sa tenue repassée, sa chevelure coupée droite et aucune pilosité traitresse. Rigueur et persévérance le distinguent au moins de certains de ses pairs.

Ainsi, définir de quelconques passions ou centres d’intérêts à Makoto pourraient se montrer ardu tant peu de loisirs l’exaltent réellement, cependant, de calmes attraits se décèlent parfois comme un goût de la lecture journalière ou de vagues observations de l’environnement. En fait, il ne vit que trop à travers du monde qui l’entoure. Au moins, rien ne semble capable de se dresser face à sa détermination et sa dévotion infaillible en fait un parfait allié malgré sa tendance à se placer dans l’ombre et en retrait.

Aussi, les vagues histoires aventureuses qui s’entendent au-delà de la région ne l’intéressent nullement, plutôt inquiet des conséquences et débordements que cela engendrait directement sur sa petite vie et le Kanto lui-même.

• CAPACITES :

Informations non transmises.

HISTOIRE

Né de deux parents parfaitement humains et dans la classe moyenne, il put grandir avec tout le nécessaire sans pour autant connaître les grands luxes. Très vite éduqué dans un japonais moderne, Makoto n’a fait que reprendre l’exemple de ses aïeuls très à cheval sur la rigueur, faisant de lui un enfant brillant et sérieux. Diplômé avant l’heure, il n’hésita pas plus longtemps et rejointrejoignit aussitôt une simple société en tant que comptable, prenant ainsi son envol. A la suite de ce premier emploi auquel il se consacrait beaucoup, si ce n’était trop, comme pour tous ceux qui suivront, Makoto enchaîna des contrats assez courts dans divers milieux, ayant eu une période en maçonnerie plutôt douloureuse, ou même un temps dans le cinéma en tant que caméraman, pour finalement trouver des voies plus agréables dans ce qui s’apparentait, comme au départ, dans le secrétariat la bureautique.

Ces quelques années à essayer tout ce qui pouvait l’être lui donnèrent une forte capacité d’adaptation et de lucidité, beaucoup plus élevée que la norme, expliquant ses facultés à pouvoir accomplir un grand panel de tâches très diverses et variées, parfois carrément opposées. On pourrait toutefois penser que cette instabilité nuirait à sa vie et son bonheur, pourtant, il n’en est rien, bien au contraire puisque ce bourreau de travail peu habile lorsqu’il s’agit de se détendre se complait amplement dans ces métiers souvent qualifiés de sale besogne et non désirés en raison de l’ingratitude et de l’épuisement qui s’en retirent. Ce manque d’ambition se ressent bien sûr au quotidien et il n’est pas rare de le voir traité comme un minable par ses pairs qui peuvent parfois profiter de sa gentillesse, puis après tout, eux sont généralement plus doué dans leur propre domaine et le considèrent toujours comme quelqu’un d’inférieur et moins bon.

Peu rêveur, le trentenaire se contente alors du minimum, au sein d’un appartement menu démontrant tout l’ascétisme de ceux dans son genre, possédant d’ailleurs la même tenue en une quinzaine d’exemplaires. On ne peut pas dire que Makoto a une vie débordante, celle-ci justement très monotone, dans un rythme de “ métro-boulot-dodo “, mais certains de ses pairs savent tout de même l’apprécier à sa juste valeur, et au fond cette vie lui plait énormément, sans oublier qu’il aide ses parents en leur envoyant une partie de son salaire. Aujourd’hui, il a récemment postulé dans les services policiers de Kanto.

UNE FORME EVEILLEE ?

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